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| Il faut donc forer à la profondeur de la roche réservoir. Mais je ne comprend pas où il y aura des hydrocarbures. | |
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| Exact, étant donné que lorsque la productivité primaire est forte, la production d'hydrocarbure augmente, on en déduit que là où il y a une abondance de biomasse, il y aura une présence d'hydrocarbures. Au niveau des zone dupwelling, des eaux froides venant des profondeurs apportent des sédiments riches en matière organique. Cela induit une forte production primaire dans les eaux de surface en engendre donc la création dhydrocarbures suivant le procédé que nous avons vu précédemment. | |
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| Très ingénieux ! | |
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| De plus on retrouve aussi de la matière organique qui a échappée au décomposeurs au creux des blocs basculés par des failles normales. Ces failles normales ont été provoqué au niveau de marge continentale passive. Cette matière organique subit les mêmes transformations chimiques que pour celle des zone dupwelling et se transforme en hydrocarbures. | |
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| Et donc pourriez-vous nous expliquer où donc forer, je veux dire, dans quel région ? | |
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| Dans locéan, près des côtes près dun pays qui de préférence réunit les deux conditions: le phénomène dupwelling et la marge passive. Par exemple au Gabon on remarque sur la carte du document 1 (qui montre la production primaire des océans), une productivité primaire de plus de 400 grammes de carbone par mètre carré par an. De plus on sait quau large du Gabon sest formé une marge passive. | |
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